Paul Jarret A.L.E

Après avoir créé et dirigé plusieurs projets en petites ou moyennes formes (tels Pj5, EMMA, Ghost Songs avec Jim Black…) pour lesquels il assurait la direction artistique, occupait le poste de musicienguitariste et composait la totalité du répertoire, Paul Jarret se lance dans l’aventure du grand format.

On y retrouve les différentes esthétiques qu’il a explorées à travers ses précédents projets : un contexte général jazz et musiques improvisées, où l’interaction, l’écoute mutuelle et le « sonner ensemble » sont essentiels ; la présence de mélodies claires, de répétitions motiviques et de crescendos appelant à la transe ; une certaine forme d’hyper-diatonisme chère à la fois aux compositeurs post-minimalistes (John Adams, David Lang, Jóhann Jóhannsson…), aux musiques pop-rock alternatives (Bon Iver, Sigur Rós, Sonic Youth…) et aux musiques traditionnelles d’Europe du Nord (Scandinavie, Grande-Bretagne) ; un climat général pouvant rappeler certaines musiques liturgiques ou sacrées, la musique de lenteur de Giacinto Scelsi ou le tintinnabulisme d’Arvo Pärt.

  • guitare électrique — Paul Jarret
  • harmonium – Thibault Gomez
  • clarinette basse – Élodie Pasquier
  • saxophone ténor – Maxence Ravelomanantsoa
  • tuba 1 – Fabien Debellefontaine
  • tuba 2 – Fanny Meteier
  • trombone – Jules Boittin
  • trompette – Hector Lena-Schroll
  • contrebasse 1 – Alexandre Perrot
  • contrebasse 2 – Étienne Renard
  • violoncelle – Bruno Ducret
  • nyckelharpa – Éléonore Billy
  • alto – Maëlle Desbrosses
  • violon – Fabiana Striffler