Sorties albums et livres

OUTRE The Very Big Experimental Toubifri Orchestra mars 2023

MAXIMA POESIA mars 2023

La Vie d’après DUO BRADY décembre 2023

WORKERS Kami Octet 18 novembre 2022
Sortie le 29 avril 2022
Sortie le 6 octobre 2022
Sortie le 18 novembre 2022/LABEL MCO

VEN. 10 DÉCEMBRE 2021
26 et 27 novembre 2021
25 février 2022
sortie septembre 2021
Sortie 18 novembre 2021
Sortie mai 2021
sortie le 9 mai 2021

sortie le 07 décembre 2020
sortie le 06/11/ 2020

sortie le 18/09/2020
sortie le 18/09/2020

sortie le 13/11/2020
sortie le 13/11/2020


Space, Time and Mirror

Christophe GIRARD Accordéon et composition

Amaryllis BILLET Violon
Elodie PASQUIER Clarinette
Anthony CAILLET Euphonium. Claude TCHAMITCHIAN Contrebasse. Francois MERVILLE Batterie

PRODUCTEURS

WARNING, L’ESPACE DES ARTS,
LE CONSERVATOIRE DU GRAND CHALON L’ARROSOIR.
ENREGISTRE EN LIVE LE 3 DECEMBRE 2021 A L’ESPACE DES ARTS CHALON-SUR-SAONE. INGENIEUR SON LEO AUBRY LABEL WARNING DISTRIBUTEUR INOUIE DISTRIBUTION.

Concert de sortie 13 juin 2022 Pan Piper Paris 11ème

Le groupe Space, Time, and Mirror prolonge et approfondit le travail
artistique que je mène depuis plusieurs années autour de l’idée d’un jazz de chambre – une musique qui associerait l’horizon intime et dialogique de la musique de chambre à l’énergie émancipatrice du jazz. Pour ce nouveau sextet, j’ai cherché une instrumentation qui permette la fusion acoustique des membres comme la superposition tranchante des plans. Le casting du groupe s’est vite imposé. Les musiciens qui m’accompagnent dans ce projet partagent
avec moi ce souci du son instrumental, et l’envie d’une musique fluide et plastique, qui puisse naviguer de l’écriture à l’improvisation, du solo au tutti, du concerto grosso à Mingus.
Au cœur de ce projet, il y a la notion d’espace. L’accordéon est peut-être le plus « spacial » des instruments. Il implique en tout cas une double topologie : virtuelle, à travers l’espace harmonique qu’il organise ; et matérielle, à travers les subtiles symétries et dissymétries qu’autorise l’agencement de ses deux claviers. Mais c’est aussi un instrument qui télescope les lieux et les espaces, et dont l’imaginaire renvoie aussi bien au sacré qu’au séculier. Ce sont tous ces jeux de miroir inhérents à l’instrument – du reflet déformant à la vitre sans tain – que j’ai voulu pour ainsi dire difracter à l’échelle du sextet.
La performance qui en résulte se déploie en trois tableaux d’une quinzaine de minutes, confrontant les prises de paroles individuelles librement improvisées à l’écriture du groupe. Au fond, j’ai essayé de retrouver par là quelque chose du sens de la narration que peuvent susciter les grandes formes musicales – une histoire faite d’apparitions et d’effacements, la nostalgie d’un récit fantastique qui a déjà été oublié avant d’avoir pu être raconté.
Christophe Girard

Forets TATANKA

Emmanuelle Legros, trompette, bugle, toy piano, voix
Guillaume Lavergne, Fender Rhodes, piano, synthétiseur, voixCorentin Quemener, batterie, percussions, voix

Concert de sortie Le Périscope Lyon 2 mars 2022

Forêts est le deuxième album de Tatanka, un trio de jazz sioux pour envol es sauvages. La trompettiste Emmanuelle Legros emmène ses deux complices dans une contrée musicale aux espaces non défrichés. Sur de longues lignes mélodiques et claires, Guillaume Lavergne cavale au piano pendant que la batterie de Corentin Quemener s’affole dans de grandes courses indomptables. Le son du bugle nous réchauffe, et les voix des trois musiciens apportent un vent de douceur cette musique de Tatanka, qui signifie « bison » en langue sioux.

Apalis

ANA KAP :

Pierre Millet, long cornet and flugelhorn Manuel Decocq, violin, and piano on* Jean-Michel Trotoux, accordion

AND

Dzijan Emin, piano, fender rhodes and juno synth Bojan Ilkoski, violin I Marija Trajkovska, violin II Olivier Samouillan, viola Marija Mihajlovska, cello

ALTER EGO

l’Orchestre Régional de Normandie, placé sous la direction de Jean Deroyer, invite Yves Rousseau et Oua-Anou Diarra pour une nouvelle production discographique.

Yves Rousseau, composition (commande de l’Orchestre Régional de Normandie)

Oua-Anou Diarra, flûtes peules, tamani, djéli n’goni, calebasse

Jean Deroyer, direction musicale

et les musiciens de l’Orchestre Régional de Normandie

« Alter Ego : un autre « moi-même »… En composant cette suite déclinée en sept pièces distinctes, j’ai rêvé, imaginé, puis donné vie à cette rencontre entre deux mondes, celui de la musique écrite et celui de la tradition orale : un chemin jalonné de rendez-vous mélodiques et rythmiques, veillant à ne jamais gommer les spécificités de l’un ou de l’autre mais cherchant au contraire à toujours les faire entrer en résonance(s).

J’ai souhaité une certaine mobilité des rôles, à ce que l’orchestre, avec la richesse de sa palette sonore, accompagne le soliste tout autant que l’inverse. J’ai tenu à respecter l’univers de Oua-Anou Diarra tout en lui demandant de faire un pas vers la communauté des « classiques », tout comme j’ai demandé à l’orchestre de tendre, avec lui, les yeux dans les yeux et toutes oreilles ouvertes, vers une pulsation commune. »

Yves Rousseau

Shan

Pascal CHARRIER, guitare folk Julien PONTVIANNE, saxophone, clarinette
Ariel TEISSIER, batterie

Les musiciens de Shan improvisent en se projetant dans un imaginaire commun de la montagne. La musique fait écho à l’entièreté des forces élémentaires qui l’habitent, s’y entrechoquent, s’y accordent, ainsi qu’à la relation entre les humains et ces forces.
La musique de Shan ne se répète jamais. Elle est vivante, se métamorphose au gré de l’espace commun qui se crée à chacune des improvisations du trio. Cet espace s’étend à chacune de leurs retrouvailles et laisse toujours la parole à ce qui doit se dire dans l’instant.
À l’intérieur de cette musique, il n’y a pas de leader à proprement parler, mais une conversation triangulaire, dans laquelle chacun fait résonner son instrument en s’abandonnant à l’énergie tellurique et sonore qui circule.
Toutes ces facettes se retrouvent au sein de leur premier album, enregistré à l’occasion d’un concert au Studio Alys, à Manteyer dans les Hautes Alpes. Les énergies naturelles de la montagne s’y retrouvent et se croisent avec les vibrations des instruments de chacun.


Concert/Sortie Album
18 novembre 2021
L’Atelier du Plateau, Paris

Le seul snob

Thibault Walter, composition, piano (CP70) préparé Pablo Cueco, zarb Jean-Luc Ponthieux contrebasse

Nicolas Delbart enregistrement, mixage, mastering Thibault Walter, montage

Le Thibault Walter Trio est un trio de jazz.Sauf qu’à la place d’une batterie en bonne et due forme il y a un zarb, percussion digitale d’origine iranienne, dont Pablo Cueco, mêlant musique contemporaine, jazz et musiques du monde depuis des temps immémoriaux, est un fameux émissaire. A la place du piano il y a un CP70, piano électrique pourvu de cordes et d’un micro par note, que Yamaha fabriquait avant l’arrivée des pianos numériques ; des cordes que Thibault Walter pince, étouffe, prépare en y coinçant des petits bouts de bois, de caoutchouc ou de métal. Et à la place de la contrebasse il y aune contrebasse, jouée par Jean-Luc Ponthieux ; ça, c’est normal.

PARKING

Elise Dabrowski, voix Olivier Lété, basse électrique Fidel Fourneyron, trombone

Une production Trepak / Full Rhizome Distribué par l’Autre Distribution

La chanteuse Elise Dabrowski a souhaité réunir les musiciens Olivier Lété, basse électrique et Fidel Fourneyron, trombone pour créer un trio de compositions ouvertes.

En quête d’une musique de reliefs et d’espaces, ce trio fait naitre des territoires nouveaux où le mélange des timbres nous fait traverser divers univers apparentés au jazz, mais finalement détournés de celui-ci.

https://vimeo.com/455768635

Riviera

Label Art Mélodies
Distribution numérique Absilone

Sortie le 09 mai 2021

Avec ce premier album entre sonorités acoustiques et électriques, les musiciens de Riviera nous embarquent pour un périple unique. Lyrisme et tumulte s’expriment au fil des compositions ; les improvisations s’y déploient, psychédéliques, estompant toute frontière. Un univers poétique original où se mêlent virtuosité, élégance et nostalgie.

Jérémie Schacre, guitare et guitare électrique
Olivier Samouillan, violon alto, orgue et mandoline
Stéphane Bularz, contrebasse
Guillaume Chevillard, batterie

Cabane perchée

Csaba Palotaï, guitare acoustique

Steve Argüelles, percussion acoustique, guitares acoustiques préparées

sortie mai 2021

Le guitariste hongrois Csaba Palotaï, qui vit en France , et son ami le batteur et percussionniste britannique Steve Argüelles sont en quête du grand dans le petit, du construit dans le naturel, lorsqu’ils érigent par les moyens les plus simples possible une structure de sons qui évoque des formes musicales complexes. Il s’agit d’une construction musicale grandeur nature qui remplit parfaitement ses fonctions. Quand ces deux musiciens exceptionnels ont occupé cette demeure, ils ont ouvert les fenêtres dans deux directions, la même idée traversa la maison : « une image simple à l’infini est capable de nous raconter tout sur un univers infiniment complexe ».

L’une des deux fenêtres donne sur le sud et l’on y voit du bassin des Carpates par delà les Balkans jusqu’en Afrique. On y distingue un homme fragile, portant des lunettes rondes: c’est Bartók, qui résuma la quintessence musicale de ses expéditions dans sa série « Mikrokosmos ».

L’autre fenêtre de la cabane donne sur l’ouest et, si on se concentre bien, on peut y voir l’Amérique. On y distingue la silhouette d’un étrange personnage avec une longue barbe et portant un casque de viking : on reconnaît Moondog qui a couvert d’étoiles l’asphalte de New-York, a construit des instruments à partir d’objets trouvés et composé de la musique avec les bruits de la rue, sans peutêtre même deviner qu’il traçait un nouveau chemin à la musique répétitive moderne.

D’après la théorie de Bartók, ce sont « les forces de la nature agissant en l’homme d’une manière inconsciente » qui façonnent la musique populaire à partir de laquelle il a composé. Quant à Moondog, il rend compte de ses découvertes, celles des mélodies et des rythmes des klaxons des voitures et de la circulation orchestrée par les feux de signalisation, à partir desquels se crée « la musique populaire » de la métropole. Les deux musiciens de cet album tirent la même conclusion ce n’est pas l’homme qui apparaît dans la musique, mais justement, l’inverse.

Emese Szász

Ecume de Mai / Christopher BJURSTRÖM

Label MZ Records / Marmouzic  distribution Les Allumés du Jazz

Sortie le 7 décembre 2020

L’écume de mai est un phénomène de bord de mer, qui apparaît souvent au printemps. C’est une formation accrue d’écume, dont une partie peut s’envoler en direction des terres, portée par le vent.

Cette écume, cette empreinte de mer, est le produit du bouillonnement interne de la mer, et des circonstances environnantes. A travers cette image des bords de mer, Christofer Bjurström évoque dans cet album tout ce qui va construire notre singularité et dont seule l’écume est accessible, tout l’environnement passé et présent qui interagit avec notre présence au monde.

C’est tout ce que nous aurions voulu faire et n’avons pas fait,
Ce qui a voulu prendre la parole et n’a pas trouvé les mots qu’il fallait,
Tout ce qui nous a quittés sans rien nous dire de son secret,
Ce que nous pouvons toucher et même creuser par le fer sans jamais l’atteindre, Ce qui est devenu vagues et encore vagues parce qu’il se cherche sans se trouver, Ce qui est devenu écume pour ne pas mourir tout à fait,
Ce qui est devenu sillage de quelques secondes par goût fondamental de l’éternel, Ce qui avance dans les profondeurs et ne montera jamais à la surface,
Ce qui avance à la surface et redoute les profondeurs,
Tout cela et bien plus encore, La mer.
Jules Supervielle / Oublieuse Mémoire

Le thème fondamental de cet album est une exploration de l’empreinte, du vestige, de la trace, un questionnement autour de nos paysages intérieurs, de la singularité de leur construction. Au départ de ce voyage intime se trouvent neuf poèmes qui ont été en quelque sorte les « facteurs déclenchants » des morceaux qui constituent cet album. Ces poèmes sont de Jules Supervielle, Abdellatif Laâbi, Claude Roy, Bo Carpelan, Emily Dickinson, Sylvia Plath et Raymond Carver. 

Double vue

Le gang des petits vélos – Henri Cueco
Vol dans la nuit – Pablo Cueco

parution novembre 2020

Format : 10,5 x 15,5 cm -Prix éditeur : 7,00 €
Collection : Double vue – Éditeur : QUPÉ ÉDITIONS


Ce livre a pour point de départ une soirée de l’été 2001, mésaventure sans gravité tournant à l’épopée, emblématique d’une impitoyable banalité périphérique.

Il s’ouvre par les deux bouts et commence de chaque côté par un récit
de cette soirée. Deux récits pour une même soirée, écrits chacun de son côté, par Henri et Pablo Cueco, respectivement père et fils, peintre et musicien, auteurs tous les deux…

Partant de ce double récit et méditant à son propos, Pablo Cueco a choisi dans le journal et les cahiers de son père décédé quelques années plus tôt, des textes se rapportant aux thèmes qui surgissent du récit initial.
Il a parallèlement fait un cheminement similaire dans ses propres écrits et orchestré l’ensemble.

Initié presque sur le vif, dans un esprit de recherche mutuelle de complicité artistique, ce dialogue à distance sur le monde et son évolution s’est poursuivi dans le labyrinthe des mémoires et des écrits.

Je me soigne aux histoires. Ça fait trois fois au moins que j’écris
ces conneries de la maison. C’est comme les frères. C’était sinistre, épouvantable, mais ça nous faisait rigoler. Dans les réunions de
famille, quand on a bu un peu, on se les raconte encore et ça fait rire à tous les étages des générations encore en vie. Bientôt ce sera notre
tour, on nous racontera et ça sera toujours ça de vie qui nous restera.

Henri Cueco

 Twins

Collectif La Boutique
Fabrice Martinez – Vincent Peirani

Fabrice Martinez prend la direction du projet Twins. Il invite Vincent Peirani à rejoindre les 8 musiciens du Collectif La Boutique pour explorer 25 ans de répertoire. Ensemble, ils en proposent une lecture toute nouvelle et collective. L’orchestre et l’accordéoniste s’invitent mutuellement sur des territoires inexplorés.

Crésistance

Camille Thouvenot

Sortie le 06 novembre 2020

Ce disque « Crésistance » à été enregistré dans un chouette studio à Lyon (Mikrokosm) et un travail en post production de composition électroacoustique à été effectué par la compositrice Audrey Podrini. Nous avons penser cet opus comme une suite, dans laquelle on parle en musiques de nos différentes influences (musicales et autres.. ) qui ont permis de créer la musique. voici un petit texte qui introduira le livret qui figurera dans la pochette :« Crésistance est pensé comme une histoire, dans laquelle on vous parle d’amour, de bienveillance, d’inspiration, d’émotions, de créations et résistances.

Ce disque « Crésistance » à été enregistré dans un chouette studio à Lyon (Mikrokosm) et un travail en post production de composition électroacoustique à été effectué par la compositrice Audrey Podrini. Nous avons penser cet opus comme une suite, dans laquelle on parle en musiques de nos différentes influences (musicales et autres.. ) qui ont permis de créer la musique. voici un petit texte qui introduira le livret qui figurera dans la pochette :« Crésistance est pensé comme une histoire, dans laquelle on vous parle d’amour, de bienveillance, d’inspiration, d’émotions, de créations et résistances.

Ce disque est également un hommage aux musiciens qui ont marqués mon parcours, certains sont cités en musique ou par leurs voix, d’autres par l’inspiration qu’ils ont suscitée. « 

couverture livre " Pour la route"

Pour la route

Pablo Cueco

Photographies Milomir Kovacevic – dessins Rocco – éditions Qupé

Des visages, des mots et des bistrots…
Ça se passe à Paris, dans le IIIe arrondissement, au début du IIIe millénaire sous le regard poétique et généreux de Pablo Cueco.
Le sourire aux lèvres, les portraits
des habitués prennent vie sous sa plume.
On les entendrait presque…
Un livre à lire cul sec ou à déguster
entre amis à l’apéro !

Pablo Cueco vit depuis toujours
ou presque dans le quartier des Enfants-Rouges. Il lit, écrit, travaille, débat, boit et reçoit dans les bistrots des alentours. Son recueil de textes et de petits portraits est autant une ode célébrant les comptoirs fameux que la chronique d’une transformation urbaine et culturelle.

Le dessinateur Rocco et le photographe Milomir Kovačević, eux aussi explorateurs assidus de la jungle
de zinc et de formica, accompagnent l’auteur dans cette bistro- ction.

TZIMX

Mirtha Pozzi Nowland Tac 

TZIMX le nouvel album de Mirtha Pozzi, prend son nom du son des cymbales, associé aux onomatopées TZIM !,  DZING ! ou TSIMM !

TZIMX, un mot qui fait du bruit !

Fragments septet

Yves Rousseau – Yolk records

Sortie le 18 septembre 2020

Daniel D’Adamo

The Lips Cycle / Cuicatl La Buissonne

sortie le 13 novembre 2020

Distribution France [PIAS] Distribution internationale disponible en 2021

(…) Lors de l’énonciation silencieuse d’un texte, des sons minuscules se produisent à l’intérieur même de la bouche, les lèvres s’y entrechoquent, la langue y percute l’arrière des dents et du palais, elle claque contre ses parties intérieures, les sons sifflants sont modulés par la forme de la langue, ils passent entre les dents, résonnent à l’intérieur de la bouche, sont interrompus par une consonne occlusive. Dans l’écoute concentrée de ces sons minimaux – respirations, souffles, halètements, murmures, frictions, frottements, spasmes – s’établit une intimité musicale d’une sensualité particulière liée à leur puissance évocatrice. Tout cela se dessine dans une échelle musicale infinitésimale.

Yann Robin

Inferno Quarks Cuicatl La Buissonne

sortie le 13 novembre 2020

Distribution France [PIAS] Distribution internationale disponible en 2021

Inferno arrive dans la continuité de Vulcano pour grand ensemble, où je prenais les phénomènes volcaniques et leurs dynamiques comme principal sujet. Le cratère est dans certaines croyances considéré comme la porte du royaume des enfers, rempli d’esprits malfaisants.

A l’inverse du volcan qui est un cône dressé vers le ciel, l’Enfer dantesque est représenté par un cône tourné vers le centre de la terre, une sorte d’entonnoir à l’intérieur duquel se déverse tout le mal de l’univers. Issue de la Divine Comédie de Dante Alighieri, Inferno repose sur la topographie de l’Enfer, plus précisément sur la descente effectuée par Dante guidé par Virgile à travers les neufs cercles infernaux.
Le texte de Dante est un guide, un fil d’Ariane, un prétexte au travail du son et à sa conduite vers des fréquences abyssales, vers des sonorités au delà de la perception humaine…

Yann Robin